Les subordonnées conjonctives

octobre 6th, 2009

Ce sont les propositions subordonnées introduites par des conjonctions de subordination, dont voici une liste :

Temps when (quand), as soon as (dès que), since (depuis), before (avant), after (après), till / until (jusqu’à), while (pendant que)
Condition, hypothèse if (si), even if (même si), unless (à moins que), as long as (du moment que), in case (au cas où), whether (si)
But to / in order to / so as to, so that / in order that (pour que, de façon à)
Cause because (parce que), as / since (puisque), for (car)
Restriction though / although (bien que), whereas (alors que), while (alors que)
Résultat so (ainsi), so that / such… as (de telle sorte que)

Attention, ce ne sont pas les seules. Les subordonnées conjonctives peuvent être également introduites par « that », Ø, et les mots en « wh- ».

Contrairement à la subordonnée relative, la subordonnée conjonctive est essentielle à la phrase. Elle peut servir de sujet à la principale, de complément d’objet ou d’attribut. Elle est reconnaissable parce qu’elle peut être remplacée par « it » ou « something ».

Sujet :

Exemple 1 : « Whether you come or not is not my problem. » (Le fait que tu viennes ou pas n’est pas mon problème.)
Exemple 2 : « It is not my problem » (Ce n’est pas mon problème.)

Complément :

Exemple 1 : « I appreciate that you are honest with me. » (J’apprécie que tu sois honnête avec moi.)
Exemple 2 : « I appreciate it. » (J’apprécie cela.)

Attribut :

Exemple 1 : « Life is what you make of it. » (La vie est ce qu’on en fait.)
Exemple 2 : « Life is something. » (La vie est quelque chose.)

La subordonnée conjonctive peut également être une proposition subordonnée circonstancielle. Comme son nom l’indique, elle décrit une circonstance (temps, but, cause, etc). Dans ce cas, elle est introduite par l’une des conjonction du tableau ci-dessus.

Exemple 1 : « She will be ready when you arrive. » (Elle sera prête quand tu arriveras.) – complément circonstanciel de temps.
Exemple 2 : « In order to be successful, you need to follow those steps. » (Pour avoir du succès, il vous faut suivre ces étapes.) – complément circonstanciel de but.

Les subordonnées relatives

octobre 6th, 2009

Pour apprendre à écrire une subordonnée relative, il faut savoir écrire une phrase simple. La subordonnée relative n’est autre qu’une phrase simple reliée à une autre par un pronom relatif. La subordonnée relative peut s’accrocher en fin de proposition principale ou directement à un groupe nominal.

Prenons deux phrases simples :

« I am drawing a girl. » (Je dessine une fille.)
« She has beautiful eyes. » (Elle a des yeux magnifiques.)

On relie ces deux phrases pour en faire une phrase complexe :

« I am drawing a girl who has beautiful eyes. » (Je dessine une fille qui a des yeux magnifiques.)

La proposition relative « who has beautiful eyes » apporte des informations complémentaires sur « a girl », le COD (complément d’objet direct) de la proposition principale. On dit que « a girl » est l’antécédent de « who ».

Lorsque l’antécédent est singulier, le pronom relatif est aussi singulier. C’est pourquoi on a « who has » et non « who have ».

  • Lorsque l’antécédent est humain, on utilise les pronoms « who » (qui) si l’antécédent est sujet, « who » ou « whom » (qui) si l’antécédent est complément et « whose » (de qui, dont) pour l’appartenance.

Exemple 1 : « People who like coffee are crazy. » (Les gens qui aiment le café sont fous.)
Exemple 2 : « I do not like kids who don’t behave. » (Je n’aime pas les enfants qui ne se comportent pas bien.)
Exemple 3 : « I know the boy whom you are talking about. » (Je connais le garçon dont tu parles.)
Exemple 4 : « This is the person whose shoes you are wearing. » (Voici la personne dont tu portes les chaussures.)

A noter qu’à l’oral, on remplace souvent « whom » et « who » par « that ».

  • Lorsque l’antécédent n’est pas humain, on introduit la subordonnée par « which », « that » ou pas de pronom du tout (Ø).

Exemple 1 : « The car that you bought is amazing. » (La voiture que tu as achetée est super.)
Exemple 2 : « This is a t-shirt which / that / Ø I would never sell. » (Voici un t-shirt que je ne vendrais jamais.)

A noter qu’à l’oral, dans des phrases commençant par « this is », « here is » ou par une autre formule démonstrative, on n’emploie souvent aucun pronom relatif (Ø). Ceci est valable pour les antécédents humains et non humains.

  • Lorsque l’antécédent est un lieu, on introduit la subordonnée par « where ».

Exemple 1 : « The place where I live is a dump. » (L’endroit où je vis est un trou à rat.)
Exemple 2 : « No one ever visits the city where you go shopping. » (Personne ne visite jamais la ville où tu vas faire du shopping.)

On reconnaît la subordonnée relative au fait que si on la supprime, la phrase a encore un sens.

Exemple 1 : « Bring me the book that you are reading. » (Amène-moi le livre que tu lis.)
Exemple 2 : « Bring me the book. » (Amène-moi le livre.)

Introduction sur les propositions subordonnées

octobre 6th, 2009

Nous avons vu précédemment qu’une proposition est un groupe de mots composé au minimum d’un sujet et d’un verbe. Pour une proposition, on retrouve un seul verbe. Plusieurs compléments et autres éléments grammaticaux peuvent également s’ajouter à cette proposition mais tant qu’il n’y a qu’un verbe, il s’agit toujours d’une seule proposition.

Exemple 1 : « Anthony Kavanagh left for Canada. » (Anthony Kavanagh est parti pour le Canada.)
Exemple 2 : « As a child, Anthony Kavanagh left Haiti for Canada, with his parents. » (Enfant, Anthony Kavanagh a quitté Haïti pour le Canada avec ses parents.)

Les phrases composées d’une seule proposition sont appelées phrases simples. Celles composées de deux propositions ou plus sont appelées phrases complexes.

Dans une phrase complexe, on retrouve une proposition principale, et une (ou des) proposition(s) subordonnée(s). Les subordonnées se greffent à une principale pour compléter son contenu. On trouve 4 types de propositions subordonnées :

  • les propositions subordonnées relatives.
  • les propositions subordonnées conjonctives.
  • les propositions subordonnées infinitives.
  • les propositions subordonnées nominales.

Exercice sur les reprises elliptiques

octobre 5th, 2009

Compléter avec le tag qui convient.

  1. Morgan Le Fay is famous, _____? (Morgane Le Fay est connue.) – isn’t she.
  2. She does not have wings, _____? (Elle n’a pas d’ailes.) – does she.
  3. You are stupid, _____? (Tu es stupide.) – aren’t you.
  4. They weren’t outside, _____ ? (Ils n’étaient pas dehors.) – were they.
  5. I am weird, _____? (Je suis bizarre.) – aren’t I.

Compléter les réponses aux questions avec un tag.

  1. Does Mary Poppins fly on a broomstick? (Mary Poppins vole-t-elle sur un balai ?)
    No, _____. – she doesn’t.
  2. Is Peter Pan in love with Wendy? (Peter Pan est-il amoureux de Wendy ?)
    Yes, _____. – he is.
  3. Did you watch my video? (As-tu regardé ma vidéo ?)
    No, _____. – I haven’t.
  4. Does Frida work on Mondays? (Frida travaille-t-elle le lundi ?)
    No, _____. – she doesn’t.
  5. Can you do this for me? (Tu peux me faire ça ?)
    Yes, _____. – I can.

Les reprises avec « so », « neither » et « but »

octobre 5th, 2009

Lorsqu’un énoncé est repris avec « so », « neither » ou « but », il permet de faire une comparaison entre deux individus. « So » servira à faire un parallèle pour un énoncé à la forme affirmative.

Exemple : « – I went to Disneyworld last summer. (Je suis allé à Disneyworld l’été dernier.)
– Really? So did I. » (Vraiment ? Moi aussi.)

« Neither » servira à faire un parallèle avec un énoncé à la forme négative.

Exemple : « – Marylin does not have red shoes. (Marylin n’a pas de chaussures rouges.)
– Neither does Sandy. » (Sandy non plus.)

« But » permettra de créer un contraste.

Exemple 1 : « George can read a play in one day but Steven cannot. » (George peut lire une pièce en une journée, mais pas Steven.)
Exemple 2 : « My mum doesn’t hate you but I do. » (Ma mère ne te déteste pas, mais moi si.)

Les question tags

octobre 5th, 2009

Les tags sont des reprises courtes à la forme interrogative qui servent à demander une confirmation de l’énoncé qui précède. Lorsque l’énoncé est à la forme affirmative, le tag est à la forme négative. Inversement, si l’énoncé est à la forme négative, le tag est à l’affirmative.

Les énoncés suivis de tags sont construits sur le modèle suivant : énoncé, auxiliaire (+ n’t) + pronom (sujet).

Exemple 1 : « Jenna lives here, doesn’t she? » (Jenna vit ici, n’est-ce pas ?)
Exemple 2 : « Your parents could leave Columbia, couldn’t they? » (Tes parents pouvaient quitter la Colombie, n’est-ce pas ?)
Exemple 3 : « Leonard did not lie to you, did he? » (Leonard ne t’a pas menti, si ?)
Exemple 4 : « Maybe I shouldn’t drink so much, should I? » (Je ne devrais peut-être pas boire autant, non ?)

Même s’ils n’ont pas une structure négative (avec not), les énoncés comprenant des termes négatifs comme « never », « neither », etc, sont repris par des tags positifs.

Exemple 1 : « You never leave your kitchen, do you? » (Tu ne quittes jamais ta cuisine, non ?)
Exemple 2 : « Neither child knew how to count, did they? » (Aucun des deux enfants ne savait compter, n’est-ce pas ?)

Les énoncés comprenant des démonstratifs sont repris par « it » ou « they » selon qu’ils soient au singulier ou au pluriel.

Exemple 1 : « That’s wonderful, isn’t it? » (C’est super, non ?)
Exemple 2 : « Those aren’t very nice, are they? » (Celles-ci ne sont pas très jolies, pas vrai ?)

A noter, « I am » est repris dans les tags par « aren’t I ? »

Exemple 1 : « I’m so beautiful, aren’t I? » (Je suis si belle, tu ne trouves pas ?)
Exemple 2 : « I am too worried, aren’t I? » (Je me fais trop de souci, non ?)

Les tags en fin de phrases peuvent être traduits par « n’est-ce pas » ou d’autres expressions assez familières en français : « non ? », « tu trouves ? », « pas vrai ? », « hein ? », etc. Mais en anglais, le tag n’est pas du tout familier. Il est plutôt neutre.

Les questions brèves

octobre 5th, 2009

Les questions brèves sont de deux types. Il y a tout d’abord celles que l’on pose après un énoncé pour demander à son interlocuteur si la situation qu’on vient de décrire est aussi la sienne.

Exemple : « I had difficulties getting through so I did not talk to him today. What about you? Did you? » (J’ai eu du mal à le joindre alors je ne lui ai pas parlé aujourd’hui. Et toi ? Tu lui as parlé ?)

La question brève « Did you? » sous-entend, « Did you talk to him today? »

On peut également poser une question brève pour demander une confirmation à son interlocuteur.

Exemple : « – Social Services accuse me of abusing my children. (Les Services Sociaux m’accusent de maltraiter mes enfants !)
– But, do you? » (Mais, est-ce le cas ?)

On peut encore utiliser une question brève afin de marquer son intérêt pour l’information que vient de nous donner un interlocuteur. Dans ce cas, il ne s’agit pas réellement d’une question, puisqu’on n’attend pas de réponse. C’est avant tout un effet de style.

Exemple :  « – Sting asked me to PR for him. (Sting m’a demandé de m’occuper de ses relations publiques.)
– Waw, did he? » (Waw, c’est vrai ?)

Les réponses brèves

octobre 5th, 2009

Il y a plusieurs types de réponses brèves :

  • Celles qui répondent à une remarque ou à une question demandant si l’information est vraie ou fausse.

Exemple 1 : « Melinda is married to Pascal. » (Melinda est mariée à Pascal.)
Exemple 2 : « Indeed, she is. » (En effet. / En effet, elle l’est.)
Exemple 3 : « Rosy eats a lot of chocolate, right? » (Rosy mange beaucoup de chocolat, non ?)
Exemple 4 : « No, she does not. » (Non. / Non, c’est faux.)

  • Celles qui répondent à une question commençant par « who » ou par « which ».

Exemple 1 :  « Who called you this morning? » (Qui t’a appelé ce matin ?)
Exemple 2 : « She did. »  (C’est elle.)
Exemple 3 : « Who comes from Paris? » (Qui vient de Paris ?)
Exemple 4 : « I do. » (Moi.)

Introduction sur les reprises elliptiques

octobre 5th, 2009

Les reprises elliptiques, parfois appelées tags, sont des moyens de reprendre le contenu d’un énoncé précédent sans avoir à le répéter. Elles sont formées du sujet et de l’auxiliaire (be, have, do ou modal) et elles laissent de côté tout le reste (le verbe et les éventuels compléments).

Exemple : « – Is Elizabeth II Queen of England? (Elizabeth II est-elle Reine d’Angleterre ?)
– Yes, she is. » ou simplement « She is. » (Oui.)

Les reprises elliptiques sont utilisées dans le cadre de :

  • réponses brèves.
  • questions brèves.
  • les questions tags.
  • les énoncés repris par « so », « neither », « but », etc.

Traduction de CV français/anglais, anglais/français

octobre 2nd, 2009

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